Les Amis de Flaubert – Année 1967 – Bulletin n° 31 – Page 5
Flaubert et George Sand
Ce n’est pas la première fois que je viens en pèlerinage à ce Croisset qui attire et attirera toujours ceux qui aiment Flaubert. Longtemps de jeunes littérateurs viendront ici interroger les murs du « gueuloir » dans l’espoir d’y entendre ces paroles gelées dont parle Rabelais, prononcées parune ombre gesticulante, qui, après avoir peiné durement sur des pages blanches, éprouve la courbe et le métal et le rythme de ses phrases.
Une de mes premières visites, la première peut-être, au cours de mon séjour rouennais de 1930-1931, a été pour ces reliques émouvantes. Au fond de la malle qui me suivait dans mes déplacements, il y avait plusieurs volumes de l’édition du Centenaire, procurés par Descharmes, et c’est à Rouen même que j’ai lu et relu cette magnifique correspondance où Flaubert se livre tout entier, tour à tour colère et jovial, rageur et attendri, sérieux et rabelaisien, et toujours serviteur d’un grand idéal ; cette correspondance qu’on ne peut lire sans concevoir pour l’auteur une de ces amitiés profondes qui ne cessent qu’avec la vie car, selon la belle formule de Jacques Suffel : « Elle grandit l’homme sans faire de tort à l’écrivain ».
C’était mon premier contact avec une correspondance d’homme de lettres, et c’est là que je fais remonter le germe de la vocation qui m’a fait entreprendre, bien des années plus tard, la publication de la correspondance, de sa grande amie George Sand.
À ce propos un souvenir me revient. C’était un soir, dans le charmant grenier où notre ami Renaudin réunissait quelques amis, littérateurs, musiciens, journalistes. Il m’avait présenté à l’un d’eux, dont je ne sais plus le nom, et pour meubler ses minutes hésitantes des premières répliques échangées, j’évoquais pour mon interlocuteur les liens qui pouvaient unir sa Normandie et mon Berry, en citant pour exemple l’amitié de George Sand et de Flaubert. « Oh !, me répondit-il, c’est un peu vieux, tout cela. Flaubert, George Sand, c’est du passé. Il faut songer à l’avenir ». N’ayant jamais considéré les grands écrivains dont je nourrissais ma pensée comme des morts, les voyant au contraire plus vivants que bien des vivants et persuadé que le passé était lié au présent comme à l’avenir d’une manière inextricable, je fus abasourdi de cette réponse » « hénaurme » autant qu’inattendue. Quarante ans plus tard, ou presque, je ne comprends toujours pas pourquoi il faudrait renier le passé pour être de son temps.
On a déjà donné plusieurs fois le détail des rencontres et rapports de Flaubert et de George Sand ; en particulier notre ami Hollandais A.-F.-J. Jacobs dans deux articles très bien documentés parus l’un dans le Bulletin des Amis de Flaubert(1), l’autre dans la Revue d’histoire littéraire de la France (2). Je ne referai pas son historique si complet et si exact. Disons seulement pour situer les choses, que la première rencontre est d’avril 1859. A ce moment, Flaubert, 37 ans, brillant auteur de la seule Madame Bovary, fait à Paris une visite de politesse ou de curiosité à la célèbre George Sand, 55 ans, ayant derrière elle plus de cinquante-cinq ouvrages qui ont fait quelque bruit, fameuse aussi pour sa vie sentimentale agitée et ses prises de position politique. Episode provisoirement sans lendemain.
Leur correspondance ne commencera qu’après la publication de Salammbô, que G. Sand a défendu contre les attaques, dans un article de la Presse(3). Mais elle s’installe tout de suite sur « le ton de l’amitié », une amitié qui durera jusqu’à la mort, une des plus belles amitiés littéraires que l’on connaisse. Une des plus pures aussi de tout ce qui risque d’envenimer les rapports entre hommesde lettres : la jalousie, la concurrence, l’incompréhension, l’esprit critique, l’esprit tout court qui sacrifierait plutôt un ami qu’un bon mot. Pendant plus de dix ans, ces deux veilleurs nocturnes ont poursuivi un dialogue affectueux, rarement interrompu. De Palaiseau, « où le petit jet de la source empile, sans relâche des diamants au clair de lune » (4), de Nohant, veillé par ses grands ormes, partent vers Croisset des messages, des encouragements, des consolations, de tendres gronderies. De Croisset où le silence s’est troublé que par le grincement de la chaîne des remorqueurs allant et venant sur le fleuve, leur répondent des confessions à bâtons rompus, des fusées d’enthousiasme ou d’indignation, des rugissements de vieux lion que tout irrite et blesse, et qui se plante toujours quelque épine dans les pattes.
Et toujours, de loin, une main délicate arrache le dard et panse la blessure : « Je ne veux pas de ça, tu n’entres pas dans la vieillesse (pour répondre à une lettre où Gustave Flaubert déclare en ressentir les approches). Il n’y a pas de vieillesse dans le sens hargneux et misanthrope. Au contraire, quand on est bon, on devient meilleur … Tu te vantes, au reste, quand tu te proposes d’être en colère contre tout et tous. Tu ne pourrais pas, tu es faible devant le chagrin comme ceux qui sont tendres » (5). Et, plus tard : « Faut pas être malade, faut pas être grognon, mon vieux chéri troubadour …il faut s’aimer quand même, soi, son espèce, ses amis surtout … Tu es trop seul. Dépêche-toi de venir te faire aimer chez nous » (6).
Nul mieux qu’elle ne sait l’apaiser, lui remonter le moral aux heures — nombreuses — du découragement. Après une des visites de George Sand à Croisset, il confie à Mme Roger des Genettes :
« On n’est pas meilleure femme, et moins bas-bleu […] Quoiqu’elle soit un peu trop bienveillante et bénisseuse, elle a des aperçus de très fin bon sens, pourvu qu’elle n’enfourche pas son dada socialiste » (7).
Au lendemain du séjour de 1868, le dernier, il écrit à une autre de ses correspondantes :
« Quelle nature, quelle force ! Et personne en même temps n’est d’une société plus calmante. Elle vous communique quelque chose de sa sérénité » (8).
Libre, familier, bonhomme, sans pose, sans affectation, le dialogue se poursuit, toujours amical, et c’est là le miracle, car beaucoup de choses pourraient, devraient séparer ces deux êtres, si opposés de nature et de pensée, presque aux antipodes l’un de l’autre.
L’une optimiste et tendant à voir le meilleur côté des êtres et des événements — l’autre pessimiste et pourvu d’un œil impitoyable qui grossit les verrues, les tares et le ridicule.
L’une qui aime charnellement la nature, toujours prête à se fondre en elle ou à la laisser fondre en soi ; l’autre que la Suisse fait bâiller et qui avoue : « Je ne suis pas un homme de la nature et je donnerais tous les glaciers pour le musée du Vatican » (9). L’une qui adore les voyages, l’autre que l’on tire avec peine de son Croisset, et de sa robe de chambre écarlate.
L’une qui demeure spiritualiste tout en rejetant les formes extérieures des cultes, l’autre qui reproche à certains socialistes de prôner encore l’Evangile (10).
L’une très portée vers le socialisme, l’autre violemment antisocialiste et au fond aristocrate (« ce qu’il nous faut avant tout c’est une aristocratie naturelle, c’est-à-dire légitime », lui écrit-il un jour) (11).
L’une confiante dans le progrès des lumières et qui voit la solution de bien des problèmes dans l’accession du peuple à l’instruction ; l’autre qui serait plutôt contre, car il pense que « l’instruction gratuite et obligatoire ne fera rien qu’augmenter le nombre des imbéciles » (12), et qui n’hésite pas à se dire partisan de l’instruction des classes supérieures, en souhaitant qu’on mette enfin la tête au-dessus du ventre » (13)
L’une qui a conservé pour Robespierre quelque tendresse, et l’autre qui s’indigne parce que les « gens avancés croient qu’il n’y a rien de mieux à faire que de réhabiliter Robespierre » (14).
L’une qui veut mettre son cœur dans ce qu’elle écrit, l’autre qui n’admise rien tant que l’impassibilité surhumaine de Shakespeare.
L’une qui ne craint pas d’intervenir dans ses récits et de laisser voir ce qu’elle pense de ses personnages, l’autre qui réplique « quant à laisser voir mon opinion personnelle sur les gens que je mets en scène : non, non, mille fois non ! » (15).
L’une qui voulait écrire « pour tous ceux qui ont soif de lire », l’autre qui prétend le faire « pour dix ou douze personnes » seulement. (16).
En quoi diffèrent-ils encore ? Flaubert compose ses romans avec rigueur, Sand ne fait pas de plan et se laisse mener par ses héros. Lui soigne l’excès de son style, chez elle, le premier jet bien souvent est le texte définitif.
Flaubert est, comme l’a dit Thibaudet « une nature pleinement et profondément disposée à l’échec » ; George Sand a une vitalité beaucoup plus vigoureuse qui lui permet tous les rebondissements, elle sait tirer un trait sur l’impossible, et ne pas se désoler puérilement des à-coup de la vie. « Such is life », dit-elle souvent. La vie est comme ça ; il faut la prendre comme elle est et non à rebrousse-poil.
Ah oui ! elle a bien raison d’écrire : « Décidément nos deux troubadereries sont deux antinomies. Ce qui t’ennuie m’amuse » (17).
Comment expliquer alors que tant de contrastes ne se traduisent pas en disputes hargneuses, en susceptibilités aiguës, en refroidissements mortels pour l’amitié ? Ni l’un ni l’autre pourtant ne fait de lâches concessions, chacun garde son opinion qui lui est consubstantielle, mais respecte celle qu’il ne partage pas. L’amitié plus forte que les désaccords ne permet jamais à la discussion de se muer en polémique. Aussi quel intérêt dans cet échange qui remue tant d’idées ! Ceux dont la pensée est trop étroitement parente n’ont en vérité pas grand-chose à se dire : l’écho meurt vite de sa répétition. Mais là, les éclairs l’allument les uns aux autres, et l’on ne se lasse pas de suivre de lettre en lettre l’enrichissante causerie.
A propos d’un de ses livres, elle lui écrit aux premiers temps de leurs relations : « Mettez-y toutes les critiques qui vous viennent. Ça me sera très bon. On devrait faire cela les uns pour les autres, comme nous faisions Balzac et moi. Ça ne fait pas qu’on se change l’un l’autre, au contraire, car en général, on s’obstine davantage dans son moi. Mais en s’obstinant dans son moi, on le complète, on l’explique mieux, on le développe tout à fait, et c’est pour cela que l’amitié est bonne, même en littérature, où la première condition d’une valeur quelconque est d’être soi » (18).
Inépuisable sera l’interrogation mutuelle de ces deux êtres curieux l’un de l’autre. Lorsque George Sand vient à Croisset, ce qu’elle a fait à trois reprises (août 66, novembre de la même année, et mai 1868), ils bavardent longuement, interminablement. Avide de voir, de connaître, d’apprendre toujours, elle réussit — ce qui n’est pas un mince mérite —. à l’arracher pendant quelques heures à son cabinet de travail, elle l’entraîne à des promenades à la Bouille, Canteleu, Duclair, Jumièges, Saint-Martin-de-Boscherville.
Mais la nuit, le « gueuloir » prend sa revanche, c’est jusqu’à deux, trois, et même quatre heures du matin qu’ils poursuivent leurs conversations entrecoupées de lectures de la Tentation de Saint-Antoine, de l’Éducation sentimentale, ou de Cadio.
C’est que malgré les divergences et les différences accusées, ils ont tant de choses en commun : la générosité naturelle d’abord, et George Sand n’a pas mis longtemps à percer le masque d’impassibilité ; elle aurait pu dire comme Bourget plus tard : « Flaubert a ouvert son moi, il ne l’a pas ôté ». Ils partagent encore un certain idéal qu’ils blaguent ensemble agréablement, se comparant à « deux vieux troubadours de pendule d’auberge, qui toujours chantent et toujours chanteront le parfait amour » (19).
Devant les conceptions bourgeoises de la vie ils ont le même haussement d’épaules, ils croient à l’idéal, ils croient à l’art, à l’enthousiasme, ils vibrent à la lecture des maîtres.
Avec des nuances, bien sûr, car on n’en finirait pas d’épiloguer sur ce qui les diversifie.
Ainsi pour ce qui est de l’art, leurs buts sont en apparence opposés. L’Art pour l’Art dit Flaubert, et George Sand de répondre : l’Art pour l’Homme. Grave débat, jamais terminé, qui reprend de temps à autre, sous d’autres vocables.
L’artiste doit-il penser à une petite élite, travailler pour quelques raffinés, dans une orgueilleuse solitude, ou bien au contraire élargir son message afin qu’il soit compris de tous et qu’il aille toucher et faire vibrer au loin, dans l’espace et dans le temps, des âmes inconnues ?
Mais n’est-ce pas un faux problème ? Celui qui a quelque chose à dire désire que sa pensée se répande, et Flaubert limitant son public à dix ou douze personnes se trompe sur ses véritables ambitions. Lui-même en apporte la preuve le jour, où, contemplant avec Maxime Du Camp du haut de la terrasse des Tuileries, les ruines laissées par les incendies de la Commune, il s’écrie avec amertume : « Si l’on avait compris l’Éducation sentimentale, rien de tout cela serait arrivé ». Et c’est touchant, la démesure de cette illusion !
Ce jour-là, comme elle était loin, la théorie de l’Art pour l’Art, bonne pour les outrances verbales des dîners Magny !
Que l’écrivain l’avoue ou qu’il le cache, son but final n’est-il pas d’agir sur ceux qui le lisent ? « Qu’est-ce que c’est que l’art sans les cœurs et les esprits, où on le verse ? Un soleil qui ne projetterait pas de rayons et ne donnerait la vie à rien » (20), lui avait naguère écrit sa vieille amie.
Il y aurait bien d’autres choses à dire pour retracer l’histoire complète de cette virile amitié : c’est Flaubert qui offre sa bourse aux heures où George Sand est gênée. C’est George Sand intervenant auprès de Michel Lévy pour obtenir de meilleures conditions au traité de l’Education sentimentale, offrant d’acheter Croisset au moment de la déconfiture des Commanville, faisant jouer ses relations pour caser son vieil ami. Une lettre inédite (21), dont je n’ai pu découvrir jusqu’ici le destinataire, nous la montre effrayée de son abattement et de sa désespérance, et cherchant anxieusement à lui être utile.
Peut-être s’adresse-t-elle à Agénor Bardoux, qui est alors sous-secrétaire d’Etat à la Justice.
Monsieur et cher maître, l’abattement et la désespérance de notre ami G[ustave] Flaubert m’effraient beaucoup. Vous savez peut-être que sa nièce Mme Comanville a éprouvé de grands revers de fortune et, comme leurs intérêts étaient communs à plusieurs égards, la situation de Flaubert se trouve compromise, entamée, menacée très sérieusement. Sans doute il vous a écrit tout cela, mais devant la lettre que je reçois aujourd’hui, j’ai besoin de vous demander s’il n’y a pas moyen de le sauver. Je ne suis pas pratique, je n’ai pas la moindre idée de ce que pourrait être pour lui ce qu’il appelle un emploi lucratif. Peut–être aurez–vous dans l’esprit un moyen de lui trouver cet emploi. Malgré le découragement avec lequel il exprime cette velléité, je crois que si l’emploi était trouvé, il regarderait comme un devoir de l’accepter ; et je crois aussi que le salut pour lui, serait dans un travail forcé, dans une obligation à remplir, dans un devoir enfin, charge et bienfait qu’il a trop ignorés dans sa vie.
Cher Monsieur, si je puis quelque chose auprès de qui que ce soit, dites–le–moi. Je suis navrée de sa tristesse et l’avenir m’inquiète beaucoup. Quand on voit un homme de sa trempe manquer de courage, on craint un mal profond.
Pardonnez–moi de vous appeler à son secours, mais il vous aime tant que j’ai naturellement confiance en vous et toute espérance.
Croyez à mes sentiments bien profonds de dévouement.
George Sand.
Nohant 20 août 75
Indre La Châtre
Lorsque la mort vint mettre un terme à cette longue correspondance, Flaubert en ressentit un profond chagrin. Il lui sembla qu’il enterrait sa mère une seconde fois.
Ruiné, démâté, en butte à des ennuis sordides, il traverse alors un tunnel au bout duquel il ne voit pas le jour. Sa santé est précaire, son « infernal bouquin » de Bouvard et Pécuchet l’épuise, et il sent bien qu’il ne remplacera pas cette affection quasi maternelle, cette sollicitude chaleureuse qui lui est dérobée au moment même où il aurait le plus besoin de ce puissant réconfort.
Voilà tout ce qu’il pleure, à gros sanglots, le bon géant, le 10 juin 1876, appuyé contre la porte de la petite église de Nohant et tout environné des femmes de la campagne en longues capes noires qui égrènent leurs chapelets.
Dans les quelques années où il lui survivra, bien souvent il évoquera avec émotion et nostalgie le souvenir de la disparue qui savait si bien lui redonner confiance, et sans doute relisait-il parfois le paquet de lettres précieusement conservées.
Et c’est nous qui, après un siècle écoulé, les relisons encore, ces documents où deux grands esprits s’analysent et se résument. Par-delà la mort, ils conservent le frémissement de la vie, et contiennent de hautes leçons toujours valables.
« Tu veux écrire pour les temps », disait un jour à Flaubert George Sand toujours modeste. « Moi, je crois que, dans cinquante ans, je serai parfaitement oubliée et peut-être durement méconnue » (22). Et il se trouve que ces lettres spontanées, écrites à la diable sans effets de style et sans apprêt, ont franchi les temps, et nous touchent davantage que des œuvres plus travaillées.
Et voilà la réponse — tardive — que j’apporte enfin à la parole qui m’avait laissé pantois un soir de 1930, dans le grenier accueillant d’un ami rouennais.
Georges Lubin.
(1) Année 1956, No 8, pp. 23-33.
(2) No de janvier-mars 1957, pp. 19-30.
(3) No du 27 janvier 1863.
(4) Lettre du 22 novembre 1866 (mal datée dans la Correspondance de George Sand, éd. Calmann Lévy, V, p. 100).
(5) Lettre du 17 mars 1870 (mal datée dans la Correspondance de George Sand, VI, p. 199).
(6) Lettre du 18 janvier 1872 (également mal datée Correspondance, VI, p. 192).
(7) Lettre du 12 novembre 1866.
(8) Lettre du 5 juillet 1868 à Mlle Leroyer de Chantepie.
(9) Lettre du 3 juillet 1874.
(10) Lettre du 5 juillet 1868.
(11) Lettre du 4 ou 5 octobre 1871.
(12) Même lettre.
(13) Lettre du 18-19 décembre 1867.
(14) Lettre du 2 février 1869.
(15) Lettre du 6 février 1876.
(16) Le mot est dans une lettre de George Sand du 1er octobre 1866.
(17) Lettre du 19 juillet 1872.
(18) Lettre du 16 mai 1866 : l’ouvrage dont Flaubert était invité à faire la critique est le roman intitulé Monsieur Sylvestre.
(19) Lettre de George Sand du 22 novembre 1866, déjà citée.
(20) Lettre du 1er octobre 1866.
(21) Bibliothèque Historique de la Ville de Paris, Fonds Sand, G 2535.
(22) Lettre du 8 décembre 1872.